• Peupliers

    Je vais bien mais j'astique la maison ! Je vadrouille moins, il faut que je prépare Noël pour mes petits enfants !

    J'ai besoin de temps calme chez moi, sans portable ! Les photos récentes manquent, je vais en refaire

    demain si le temps le permet


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      Les fruits du troëne sont toxiques

      Ils ont intrigué les jeunes enfants qui faisaient la balade de la Grande Noé ... Ils s'interrogeaient si ces fruits étaient bons pour les oiseaux en fait non.
    • Principe actif : un hétéroside, la ligustrine

    • Circonstances d'intoxication : lors d'ingestion de feuilles (cheval, ruminants) ou de baies (chien, enfants)

    • Toxicité : décrite chez les bovins et petits ruminants, le cheval, le chien et l'homme

    • Doses : mal connues chez l'animal. Chez l'enfant, l'ingestion de 30 baies entraîne une intoxication grave

    • Organe cible : système nerveux autonome

    • Symptômes : l'animal présente des symptômes digestifs (vomissements, purgation sévère), puis secondairement une généralisation avec tachycardie, dyspnée, parésie des postérieurs, mydriase et légère hyperthermie. Dans les cas les plus graves, on observe des troubles neurologiques (agitation, convulsions) avec évolution vers le coma voire la mort

    • Lésions : essentiellement gastro-entérite

     

     

     


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    En juin : une photo prise par moi

    Deux photos prises sur internet

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    L'enveloppe des graines donnait une teinture rouge

    La décoction des fruits servait à se blondir les cheveux


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  • Le charme

    Que dit-on des feuilles du charme ? qu'elles sont dentées et en forme de coeur alors que celles du hêtre ont des feuilles poilues.


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    Le cotoneaster


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  • Le robinier aux 7 troncs


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  • A mi-Janvier par temps doux, et courant Février le plus souvent, une des premières floraisons pourrait passer inaperçue, s'il n'y avait les chatons très lumineux dans les branchages sans feuillage.
    Le noisetier souvent auto-stérile, fleurit très tôt sur le bois de l'année, il n'a que le vent pour assurer une bonne pollinisation,
    sans  les  insectes , d'ailleurs peu nombreux.

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  • Le marronnier (suite)

    Ce matin, le toit de la perception est blanc. Il a re neigé cette nuit et elle tombe toujours

    Voilà les arbres avec du sucre sur le nez

    La route toute poudrée, le ciel enfariné

    La neige a tout changé

     

    J'aime cet arbre parce qu'il est très photogénique en toutes saisons.


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  • Les quatre saisons du marronnier


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    Le tremble

    Je vous présente l'un des trois trembles près de la chapelle romane. Je le photographie souvent parce que je l'ai adopté. Je lui ai donné un nom : Monsieur Hautefort. C'est le premier qui a deux branches charpentières.

    Le tremble doit son nom au fait que ses feuilles s'agitent au moindre souffle de vent, le pétiole aplati transversalement étant souple et flexible. Ce nom est aussi utilisé au Québec pour désigner une espèce proche, le peuplier faux-tremble (Populus tremuloides).

    Malgré une étymologie populaire selon laquelle le latin Populus (peuplier) évoquerait le peuple car les places publiques romaines étaient ombragées de peupliers, le pŏpǔlus de peuple, masculin avec un o court, n'est pas le même mot que le pōpǔlus de peuplier, féminin, avec un o long. L'origine de ce dernier n'est pas connue.

    Arbre au port étalé à croissance vigoureuse, de taille moyenne, de 20 à 30 m de haut. Le système racinaire est traçant.

    Feuilles petites, glabres, alternes, arrondies, crénelées, cordées et acuminées, à couleur variable (rouge bronze, puis vert foncé, enfin jaune en automne), à pétiole allongé et aplati, très souple. Fleurs groupées en chatons pendants mâles (gris argentés à rouges) et femelles (verts) sur des pieds séparés (espèce dioïque). Pollinisation par le vent.

    Écorce lisse, parsemée de lenticelles en losange, se crevassant avec l'âge. Bois blanc crème, très homogène, de bonne résistance mécanique, mais de faible durabilité, de densité 0,45-0,50.


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