•  

    Les arbres se dénudent

    Le marronnier près de La Poste qui a bien changé en 2 jours

    Les arbres se dénudent

    L'érable aux mésanges du chouett'club

    Les arbres se dénudent

    Les fruits sont des petits akènes entourés d'un duvet qui facilite la dissémination par le vent. Ils sont groupés en boules ou glomérules. Les petits adhérents du club disent que le platane a déjà sorti ses décorations pour Noël

    Les arbres se dénudent

    Un jeune platane du parc Kennedy

    Les arbres se dénudent

    Un érable dans le soleil


    4 commentaires
  •  

    deux ifs à La Haye de Routot (dans l'Eure)

    deux ifs à La Haye de Routot (dans l'Eure)

    deux ifs à La Haye de Routot (dans l'Eure)

    deux ifs à La Haye de Routot (dans l'Eure)

    Eh non : les chapelles n’ont pas été creusées, mais se sont créées naturellement !  Dans beaucoup de vieux arbres, le bois du cœur tombe en poussière, créant peu à peu de grands vides.

     Au 19e siècle, les cavités de nos ifs sont devenues si grandes que le clergé les  remarque… Et bientôt l’if de gauche se voit doté d’une chapelle dédiée à Sainte Anne, alors que celui de droite reçoit un oratoire voué à Notre Dame de Lourdes

     Depuis 2002, les ifs s’illuminent dès la tombée du jour, ajoutant encore à la magie du lieu. La commune a reçu le label “arbre remarquable", décerné par l’association nationale “A.R.B.R.E.” pour le soin qu’elle prend de ses ifs millénaires.

     Une des raisons de planter des ifs dans les cimetières est que l’arbre, toujours vert, est symbole d’immortalité (comme le cyprès dans d’autres régions), mais aussi parce que le bois, l’écorce, le feuillage sont mortels pour le bétail, empêchant ainsi les villageois (au Moyen Age) de faire pâturer leurs animaux dans les cimetières …. 

    Agés d’environ 1500 ans, leur tour de taille est imposant :    14 mètres pour l’un, 16 m pour l’autre.

    Ces ifs seraient donc “nés” au 6e siècle (époque des invasions des Burgondes et Wisigoths …). Au 13e s, l’église (l’unique vestige de l’époque est son portail occidental) et le cimetière sont construits près des ifs devenus majestueux.

    Les fruits, nommés “arilles” sont la seule partie non toxique de l’arbre. Toutefois, il ne faut surtout pas mordre la graine (extrêmement toxique, elle), qui se trouve au centre de ce petit fruit rouge et plein de vitamines, apprécié des connaisseurs.

    On les visite tous les après-midi de Mars à Novembre

      

     


    8 commentaires
  • Le néflier

    Le Néflier commun (Mespilus germanica L.), parfois appelé Mêlier ou Mesplier, est un petit arbre de la famille des rosacées, parfois cultivé, surtout dans le sud-est de l'Europe, pour ses fruits, les nèfles.

    La récolte des fruits intervient assez tard, généralement en octobre (cela se fait au début de l'été dans le Sud de la France), après les premières gelées. Les fruits doivent être conservés plusieurs semaines dans un local aéré, jusqu'à l'amollissement ou blettissement de la pulpe qui les rend consommables. Il supporte mal la taille annuelle car n'ayant qu'une fleur à chaque extrémité des jeunes rameaux, si vous coupez, vous perdez la récolte sur la brindille ; un élagage tous les dix ans suffit.

    Pour faire une confiture de nèfles pour 10 personnes, il faut :

    Pour 10 personnes :

    • 1 kg de nèfles bien mûres
    • 800 g de sucre en poudre (sans adjonction de pectine)
    • 35 cl d’eau
    • Préparation : 30 mn
    • Cuisson : 15 mn
    • Repos : 0 mn
    • Temps total : 45 mn

    1Videz les nèfles en pratiquant une fente sur le côté et en appuyant ensuite sur l’enveloppe pour faire sortir la pulpe et les pépins. Mettez l’ensemble obtenu dans un confiturier avec le sucre et l’eau. Portez à ébullition en remuant régulièrement pour éviter que cela ne caramélise et pour permettre aux pépins de se libérer de la pulpe qui y adhère.

    2Au bout de 10 minutes, arrêtez le feu et versez le tout dans une passoire au dessus d’un saladier. A l’aide d’une grosse cuillère en bois, touillez en appuyant sur le mélange jusqu’à ce qu’il ne reste plus que les pépins. Jetez ces derniers.

    3Videz le saladier dans le confiturier et faites à nouveau bouillonner durant 5 bonnes minutes en remuant sans cesse.

    4Versez dans des petits pots de 200 g, essuyez le bord des pots et fermez immédiatement le couvercle afin que le vide d’air se crée en refroidissant.

    Pour finir... Important : il est indispensable d’ajouter l’eau indiquée dans cette préparation sinon les nèfles forment une pâte très épaisse impossible à manipuler.


    2 commentaires
  • Arbres remarquables au parc

    Arbres remarquables au parc

    Séquoia planté en 1850

    Arbres remarquables au parc

    Poirier imposant avec 28 branches planté au 18ème siècle

    Arbres remarquables au parc

    platane d'Orient planté en 1800

    Merci de votre visite


    3 commentaires
  • Le Ginkgo biloba

    Le Ginkgo biloba

    Le Ginkgo biloba

    Le Ginkgo biloba ou « arbre aux quarante écus » ou « arbre aux mille écus » (银杏 yínxìng en chinois) est la seule espèce actuelle de la famille des Ginkgoaceae. Il est la seule espèce actuelle de la division des ginkgophyta. On en connaît sept autres espèces maintenant fossiles et le  ginkgo est considéré comme une forme panchronique (dite aussi, en termes plus communs, fossile vivant). C'est la plus ancienne famille d'arbres connue, puisqu'elle serait apparue il y a plus de 270 Ma avant l'apparition des dinosaures.

    Seule espèce ayant survécu à la bombe atomique.

    Merci de votre visite

     


    votre commentaire
  • Ruscus aculeatus

    C'est un arbuste dioïque appelé aussi "buis piquant", "épine de rat", "houx-frelon". En gallo, il se nomme "hagun".

    Il est utilisé localement lors de la fête des rameaux comme substitut aux branches de buis. Les jeunes pousses sont comestibles, crues ou cuites, comme des asperges sauvages, en revanche les baies sont toxiques.

    En Ille et Vilaine (département de mes ancêtres paternels), il était connu pour des utilisations pratiques. Ainsi il a été vu à la vente aux marché des Lices durant la dernière guerre, vendu roulé en boule et servant ainsi à récurer le matériel de cuisine allant au feu de cheminée, les pointes des feuilles servant de grattoir. Un ancien couvreur se rappelle s'en être servi de hérisson pour ramoner : il s'agit alors de lier tête-bêche de nombreuses tiges par le milieu pour fabriquer ce "hérisson".

     


    2 commentaires
  •  

    Le tilleul

     

    Le tilleul

     

    Les tilleuls sont des arbres à croissance rapide, pouvant atteindre 30 à 40 mètres de haut, aux branches assez largement étalées. Le tronc présente une écorce lisse, se gerçant avec l'âge. Les feuilles caduques, sont simples, alternes, généralement en forme de cœur et à bord denté. Les fleurs sont hermaphrodites, pouvant donc être à la fois de sexe féminin ou masculin. A cinq sépales et cinq pétales libres de couleur blanc jaunâtre, avec de nombreuses étamines. Elles sont groupées en cymes bipares, chaque cyme ayant à sa base une bractée oblongue et translucide, de couleur jaunâtre. Les fruits sont des petites capsules sèches et globuleuses.

    Les fleurs du tilleul commun renferment du mucilage, des huiles essentielles, des tanins, des glucosides, des gommes, des sucres, du manganèse et de la vitamine C. En infusion elles sont recommandées dans de nombreux troubles nerveux, de migraines, de grippe, d’insomnies.

    La forme la plus commune est l'infusion de fleurs sèches. En 1957, année de forte grippe en France, on infusa 500 tonnes de fleurs de tilleul (20 % de plus que la moyenne). Les bains calmants sont aussi recommandés. Étonnamment, en Europe, la tisane de tilleul ne serait utilisée que depuis le 16è siècle.

    création/animation d'Alice : ça fait du bien

    Merci de votre visite


    1 commentaire
  • Le robinier

    Le robinier

    Le robinier

    Le robinier

    Le robinier

    Le robinier

    Je ne suis pas un acacia, en France il n'en existe pas !!! Je suis le robinier

    C'est un arbre qui atteint 20 à 30 m de haut. Il est très souvent drageonnant et forme des bosquets parfois envahissants. Le tronc est gris-brun avec une écorce épaisse profondément crevassée dans le sens longitudinal. Les drageons et jeunes branches sont épineux.

    Les feuilles caduques sont imparipennées, avec un grand nombre (de 9 à 19) de folioles ovales ;

    Les fleurs sont blanches, en grappes pendantes parfumées et mellifères de 10 à 25 cm de long.

    Les fruits sont des gousses aplaties, de 7 à 12 cm de long, contenant plusieurs graines. Elles restent fixées à l'arbre bien après la chute des feuilles.

     

    Merci de votre visite

     


    5 commentaires
  • Sève de merisier


    votre commentaire
  • Le marronnier d'Inde

    Le marronnier d'Inde

    Le marronnier d'Inde

    Le marronnier d'Inde

    Le marronnier d'Inde

    Le marronnier d'Inde

    Le marronnier d'Inde

    C'est un grand arbre d’ornement qui peut dépasser les 300 ans et mesurer jusqu'à 30 mètres. La sève, la Bogue et la graine ont une odeur très particulière et un goût un peu amer.

    L'écorce brune à légèrement rougeâtre est lisse chez le jeune arbre se fissure dans le sens de la longueur, parfois dans un mouvement hélicoïdal autour du tronc, s'écaille et se détache par petites plaques.

    Les fleurs blanches ou roses, tachées de rouge, sont rassemblées en thyrses en forme de pyramide mais de nombreux variants existent.

    Les feuilles caduques sont opposées, grandes (30-50 cm), munies d'un long pétiole, palmées, à 5 ou 7 folioles dentelées.

    Les bourgeons pointus qui apparaissant en automne, sont protégés par une sorte de résine fortement collante.

    Le fruit est une capsule coriace, hérissée de pointes, qui renferme en général une seule (parfois deux) grosse graine brune, lisse et luisante, toxique, appelée marron d'Inde.

    Les marrons du commerce, à griller ou utilisés en confiserie, qui sont comestibles, sont des châtaignes, fruits d’une variété de châtaignier (Castanea sativa) à fruits non cloisonnés. Ce ne sont donc pas les fruits du marronnier d'Inde.

    Il faut éviter de lui faire subir des tailles sévères ou courtes, de plus c'est un arbre qui ne se taille pas en général car il est beau naturellement.

     


    5 commentaires
  • Le platane

    Le platane

    Le platane

    Le platane

    Le platane

    Le platane

     

    Les platanes sont de grands arbres, pouvant atteindre de 25 à 55 m de haut, dont les caractéristiques générales diffèrent peu d'une espèce à l'autre. Ils ont une durée de vie assez longue (plusieurs centaines d'années, voire 10 siècles et plus).

    Leur écorce caractéristique se fissure en écailles appelées rhytidomes dégageant des zones jaunâtres laissant apparaître le liège. L'aspect de peau de serpent de l'écorce est assez particulier.

    Les feuilles sont caduques, alternes, assez grandes (de 15 à 25 cm de long), presque aussi larges que longues et de consistance assez ferme, voire coriace. Elles sont à nervation pédalée et comptent trois, cinq ou sept lobes aigus plus ou moins profondément séparés. Les fleurs, très petites sont dépourvues de calice et de corolle. Elles sont réunies en capitules globuleux. Elles fleurissent assez tôt (en mai dans l'hémisphère nord).

    Les fruits sont des akènes, généralement velus réunis en boules pendantes qui murissent à l'automne.

    Le bois est dur et lourd, de couleur brun rosé.


    4 commentaires
  • Je suis le charme, Carpinus betulus pour les savants.

    J'appartiens à la famille des Bétulacées, comme l'Aulne, le Bouleau et le Noisetier.

    J'apprécie les sols neutres, assez riches, argileux et frais mais je redoute les humus acides et les sols marécageux.

    Après le Hêtre et le Chêne, je suis l'arbre à feuilles caduques le plus abondant de France, surtout dans les plaines et sur les plateaux du Nord et de l'Est, où je constitue la base des taillis.

    Je suis également souvent utilisé pour former des haies taillées, les charmilles.

    De faible longévité, je ne vis en moyenne que jusqu’à 150 ans.

    Je m'élève peu en montagne (1100 m).

     

    Le charme d’Adam, le charme à dents

    Mon tronc droit, d'environ 0,50 m de diamètre se dresse jusqu'à ma cime ovoïde, plutôt étroite, formée de nombreuses branches longues et grêles.

    Mes branches portent mes feuilles caduques, simples, en position alterne, par un court pétiole, souvent rougeâtre.

    Longues de 5 à 12 cm, large de 3 à 6, celles-ci présentent une forme allongée, ovoïde, à nervures latérales en principe non ramifiées et sont doublement dentées.


    5 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique